« Peinture ambitieuse, hautaine, littéraire au meilleur sens du terme, qui atteste la poursuite d’un grand rêve visionnaire : accorder passé et présent dans une synthèse harmonieuse dont le tourment ni la violence ne sont exclus, comme en témoignent ces ciels agités d’une sombre fureur ».
Dominique Fernandez, préface de l’exposition de la Ken’s Art Gallery, Florence,1992.